La question de l’arrêt des inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK) n’est pas récente. Motivée par de multiples raisons (poids du traitement, grossesse, coût sociétal à long terme, toxicité, perte d’adhérence thérapeutique,…), elle avait déjà été évoquée avec l’étude STIM1 TFR, qui...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.