Si la plupart des sessions portaient sur l’amélioration des traitements existants en soulevant de nombreuses questions – coût, toxicité, efficacité (à long terme), intérêt des associations et/ou de l’immuno-oncologie, contrôle de la maladie résiduelle… –, le comité scientifique de l’ASH avait cependant délibérément orienté sa sélection pour la session plénière sur ce qui devrait à court ou à moyen terme modifier la pratique: la midostaurine dans les leucémies aiguës myéloïdes, l’hydroxyurée dans l’anémie à cellules falciformes, le rituximab associé à la chimiothérapie dans les leucémies aiguës lymphoïdes B Ph- de l’adulte, les progrès génétiques… L’autre originalité de cette session plénière résidait dans la présentation du contexte de l’étude par un expert extérieur, avant la communication des résultats. Résumé.