Un homme au corps d’Apollon qui envie la silhouette d’une poupée Barbie ou une femme qui rêve secrètement de ressembler au plus sexy des plombiers. Ce sentiment d’être prisonnier d’un corps qui n’est pas le sien est appelé dysphorie de genre. Alors que le tabou entourant ce trouble est en train de disparaître, une question demeure: existe-t-il une technique idéale permettant de parler d’une «transplantation de sexe» réussie?
Gunaïkeia Vol. 30 N° 2
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