Une consommation élevée d’alcool affecte différemment le cerveau de l’homme et celui de la femme.
On connaît, ou croit connaître, le risque lié à la consommation d'alcool, même en très faible quantité, pendant la grossesse. C’est cependant avec intérêt qu'on lira cette méta-analyse proposée par les chercheurs du CAMH (Centre pour les Addictions et la Santé Mentale) canadien, méta-analyse qui a analysé les co-morbidités associées au syndrome d’alcoolisation fœtale, une des causes majeures de handicap mental d’origine non génétique chez l’enfant.
Gunaïkeia Vol. 30 N° 2
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