Dans la pratique, libérer la parole et briser les tabous restent des tâches très complexes. Le Dr Pol Thomas, généraliste à Bruxelles et spécialiste de cette question, a abordé cette thématique essentielle lors d’un atelier au Congrès de médecine générale à Namur. Il a rappelé que la prévalence des abus sexuels se situe à 12,7 % : « Ce n’est que la partie immergée de l’iceberg. La réalité est plus importante : les abus sexuels sont un phénomène sous-rapporté. »
Plus de 200 génotypes de HPV ont été caractérisés jusqu’ici, avec une carcinogénicité et une prévalence très variables (tant dans la population générale que chez les personnes atteintes d’un cancer cervical invasif - CCI).
Le coût du manque de qualité… de l’air
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