Le postérieur féminin dans l’art, de la femme «primitive» à l’Antiquité gréco-romaine

Chez la femme, les fesses sont plus grasses que chez les hommes. On peut expliquer cet enrobage naturel pour des raisons physiologiques et de société. Une femme ronde incarnant la fécondité et donc l’avenir de la race humaine (1).

Edward Lucie-Smith

 

 

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