Un projet original d’étude de la flore vaginale a récemment vu le jour à l’université d’Anvers, sous l’impulsion du Pr Sarah Lebeer. Avec pour objectif de mieux comprendre ce microbiome, les influences qu’il subit, les pathologies qu’il peut induire ou favoriser – bien au-delà...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.